Magazine littéraire, n° 287, avril 1991

L'Evénement du jeudi, n° 407, 20-26 août 1992
Florilège, n° 68, septembre 1992
Magazine littéraire, n° 303, octobre 1992
la Toison d'Or, n° 27, hiver 1992

Canal, avril 1993
Ouest-France, 18 mai 1993
La Croix L'Evénement, 23-24 mai 1993
Le Monde, 18 juin 1993
Le Monde, 25 juin 1993
La Gazette de l'Académie des Belles Lettres de Fécamp et du Pays de Caux, 2e trimestre 1993
L'Evénement du jeudi, n°452, 1er-7 juillet 1993
Page des libraires, n° 23 juillet-août 1993
Impact Médecin Hebdo, n° 203, 10 septembre 1993
La Tribune Desfossés, 1993
l'Humanité, 1993
Europe, 1993
La Marne, 18 novembre 1993
Sud-Ouest Dimanche, 1993
Livres Hebdo, 1993
Lu, tous les livres, 1993
Informations économiques, 1993
Impact Médecin Quotidien, n° 480, 1993

La Nouvelle République du Centre-Ouest, 25-26 mars 1995
Micronos, n° 21, 1995

Et caetera, l'actualité du livre en Région Centre, n° 1, mars 1996
L'Yonne Républicaine Magazine, 30 mars 1996
Ecrire & Editer, n° 2, mars-avril 1996
Décharge, n° 88, juin 1996
Et caetera, l'actualité du livre en Région Centre, n° 3, septembre 1996
Le Mensuel littéraire et poétique, n° 243, octobre 1996

Sapriphage, n° 26, hiver 96-97

LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE DU CENTRE-OUEST (25-26 mars 1995)

Contre-Vox, nouvelle revue littéraire, sortira d'une presse joncondienne dans quelques jours.
Son rédacteur en Chef en dresse le sommaire.

La littérature, affaire de spécialistes ? Que nenni. Histoire de faire tomber -s'il en était encore besoin- quelques idées reçues, Alain-Claude Gicquel apportera dans quelques jours la preuve du contraire. Autodidacte des lettres comme il se définit lui-même, ce Chambraisien de 35 ans vient de créer Contre-Vox, une revue de littérature(s) à paraître mi-avril. Sur 192 pages, dans un format 23 X 15 cm, elle présentera des textes de création, un dossier thématique et une troisième partie davantage "magazine" regroupant des chroniques, une enquête, des interviews, des critiques de livres et de revues.
"Nous aspirons à donner vie et voix, explique Alain-Claude Gicquel, à des textes et auteurs que nous aimons et voulons défendre, à créer un espace d'échanges, de dialogue et de découvertes à faire naître un objet « vivant». Au coeur de nos pages, nous entendons participer à la (re)connaissance du texte court, renouer avec la tradition de l'humour, clamer la nécessité d'une critique indépendante et révéler quelques beaux arbres masqués par la forêt du concensus mou...". Le rédacteur en chef de Contre-Vox a le sens de la formule. Grand amateur de lectures, il a publié des articles dans plusieurs revues, dont le Magazine Littéraire et La Revue des Deux Mondes. Alain-Claude Gicquel a également écrit trois livres sur Maupassant et prépare La Cohorte des Hiérodules, recueil de poésie à paraître en juin 1995.

La lecture pour le plaisir

L'aventure de la revue Contre-Vox est celle d'un petit groupe d'amis tous passionnés de littératures. Franck Evrard, Dominique Lebrun, et Alain-Claude Gicquel ont su tisser leur toile dans la région et à Paris, pour capter l'attention des auteurs , connus et inconnus.
Un quatrième homme, Philippe Castels, de Saint-Etienne-de-Chigny, va leur prêter main forte pour la partie magazine de la revue. Avec un budget de 150.000 F, ils s'apprêtent à boucler le premier des deux numéros prévus cette année. "L'originalité de notre comité de lecture, disent-ils, réside dans le fait qu'aucun de ses membres n'est personnellement impliqué dans une démarche d'écriture, à l'inverse de ce qui se pratique trop souvent. Publier des textes d'une technicité irréprochable, au détriment du plaisir de la lecture, ne nous intéresse pas".
Pour la partie technique, l'impression de Contre-Vox a été confiée à l'entreprise jocondienne La Simarre, retenue parmi les soixante-dix imprimeries françaises intéressées par l'appel d'offres. La Simarre travaille déjà pour les éditions Christian Pirot.
Les noms d'une trentaine d'auteurs figurent déjà au sommaire du premier numéro, parmi lesquels Jacques Séréna, Claude Bourgeyx, Frédéric Lenormand, Jérôme Garcin. Une seule signature manque pour l'instant à l'appel : celle du bon à tirer.

Bruno PILLE